on purge bébé texte

Non, mais c’est bien ça : toutes les fois qu’elle sort avec Bébé, ça ne manque pas ; elle le bourre de gâteaux, de bonbons… ! entrez ! » Qu’est-ce que tu vas chercher : « Dans tes flancs » ? Oh ! on ne te demande pas ce que tu veux !… Dis donc, espèce de petit garnement, est-ce que tu t’imagines…. eh bien ! Tu cherchais le lac Michigan, eh ! Oui. Y a pas longtemps que je suis à Paris, n’est-ce pas… ? Chaque fois que je le confie à sa grand’mère…. (Aimable, à Chouilloux.) Bon accueil du public et de la critique : 85 représentations en 1910. Je vous demande pardon de vous faire assister à cette scène de famille. ben, bon ! Est-ce un mal ? Faire faire mon cabinet de toilette par ma femme de chambre ! Tu me fais une scène pour mon seau et tu te ballades avec un pot de chambre ! Eh ! Se montrer dans une tenue pareille ! Tu ne blagueras pas toujours ! bien, je te les donne ! tiens, remonte donc tes bas, va ! C’est vrai ça !… (Rappelant Rose au moment où elle va sortir.) (Pour le tranquilliser.) (Elle lâche Toto, le temps de refermer la porte ; après quoi, le reprenant par la main, elle l’entraîne vers son père tout en parlant.) De tous les pots de chambre de l’armée française ! Tenez ! Ah ?… Ah ? Derrière la table, un fauteuil de bureau. Un seau de toilette n’est pas un siège ; je te prie de te mettre sur une chaise. Je suis confus, vraiment ! On Purge Bébé ! là ! Ne dérangez pas madame. Soyez gentil, buvez un peu pour faire plaisir à Toto ! Le décor est à pan coupé, à gauche : à pan droit, à droite. Quoi « ce cocu » ?… Qu’est-ce que ça signifie : « ce cocu » ? Cette mauvaise foi des femmes ! c’est ce que je dis : ta quina ! On purge Bébé, c’est un classique de Feydeau, vu à de nombreuses reprises mais c’est un Feydeau que j’apprécie beaucoup car le potentiel comique de la pièce est immense et le besoin de rire en ce moment est vital. Quoi ? et puis encore : « Nouvelles-Hébrides, îles de la Mélanésie ». Ça te gêne qu’il soit cocu ? Bois-le, ton verre, toi, si ça te fait plaisir ! Quoi, « mon seau » ? Toto se dissimule derrière la hanche de sa mère dont il tient un pan du peignoir devant lui. Il s’appelle Toto. S’il y en a trop, on en laissera ! prenez, si vous voulez, du caoutchouc durci ! Tiens ! tu peux regarder !… Non ! ben, oui, quoi ?… C’est peut-être pas moi qui ai dit : « Pourquoi pas dans les H » ? Trop aimable ! Ah ! Ah ! Moi ! nous devions en arriver là ! Ou alors, je ne sais pas : une fois sur mille ! pardon ! une autre fois, quand tu auras un reproche à me faire…. C’est insensé, monsieur Chouilloux ! Eh ! Rose. Non !… Si !… Enfin, nous n’avons pas à le savoir !… Ce n’est pas comme tel que nous le recevons. Il appelle ça rien, lui ! Et puis tu m’ennuies à la fin, avec mon seau ! Oui ?… Eh ! (Sans prendre la peine de s’asseoir, elle relève vivement ses bas en se mettant successivement sur une jambe et sur l’autre, puis reprenant.) Surtout un jour où j’ai l’honneur… ! bien, je te crois que tu n’as pas pu trouver. Ah çà !… Rose !… Rose !…. j’étouffe ! non ! Remporte-moi ça ! Voilà ! la moindre des choses, voyons ! Je ne peux pas dire ça de la mienne !… Tous les matins, c’est la première sortie ! Mais si je réussis, c’est le pactole ! je te félicite ! Qu’est-ce que ça signifie encore ça ? Je suis sorti de sa chambre avec un air détaché ; et, aussitôt la porte refermée, je me suis précipité sur ce dictionnaire, persuadé que j’allais trouver ! bien… il faut surveiller ça ! mais non ! c’est des îles ! Eh bien, croyez-moi monsieur ! C’est madame qui l’a laissé… par mégarde. et puis écoute, hein ? asseyez-vous donc ! Tous les matins, une douche ascendante : un litre, un litre et demi. Mais laisse-le donc tranquille, cet enfant ! qui est-ce qui te demande de le faire, ton cabinet de toilette ? et toi ? là, là !… les microbes !… l’eau du robinet, voilà !… » Oui, eh bien ! Je ne lui ai pas demandé de se purger ! Oui ! bien, des choses… Je cherchais « Îles Hébrides » dans le dictionnaire. Ah ! on n’en voit pas la fin ! je t’en prie, n’est-ce pas ? C’est vrai, ça ! toute la diplomatie que je suis obligée d’employer !…. Tu as toujours l’air de me la reprocher. » il boit malgré lui une gorgée. (Courant par l’extrême gauche, avec son verre à la main, entr’ouvre la porte du pan coupé et appelant.) Tu étais obligé d’inviter son amant ! et va ranger chez toi (Grommelé entre ses dents.) Mais ton seau de toilette, ça n’est que… ton seau de toilette ! Ah ?… Eh ! Dans le pan coupé de gauche, porte donnant chez madame Follavoine. Voilà : c’est le nom de l’État qui ne me revenait pas ! il n’a rien ! (Redescendant jusque devant la table contre laquelle il s’adosse.) Au théâtre de l’Atelier jusqu’au 15 novembre2020. je t’en prie, hein ? Corpus de texte le théatre. bien ! Ah ! Moi ? Oh !… et c’est ce jour-là qu’il choisit pour m’inviter des gens à déjeuner ! C’est de la boue quand il n’y a pas beaucoup de terre et pas beaucoup d’eau ; mais, quand il y a beaucoup de terre et beaucoup d’eau, ça s’appelle des îles ! Oui, oh !… (En ce disant il a gagné un peu la droite devant la table. Texte 1 : On purge Bébé, G. Feydeau Extrait de la scène 4 : Depuis « Follavoine, prenant le vase sur la table : Vous allez voir la … tu es fou ! Qu’est-ce qu’il y a encore ? Merci. je trouve que du moment que je paye une femme quatre cents francs par mois !…. Même jeu avec le verre, contre lequel Chouilloux s’efforce de se défendre. Le texte B est extrait de On purge bébé de G. feydeau. Tu as quelque chose à lui reprocher ? ça, c’est un comble ! ça me met en bonne posture… pour la concession des vases militaires ! Pardon ! Oh ! C’est possible, mais mon père l’a reçu tout de même ! Est-ce que, quand tu as besoin d’une ville, tu vas la chercher dans la géographie ? bougre d’ignare !… de la terre entourée d’eau… vous ne savez pas ce que c’est ? Euh !… « Ebraser, Ebre, Ebrécher… » C’est dans les E, voyons ! À droite, tenant la presque totalité de ce côté du décor, une grande fenêtre à quatre vantaux ; (brise-bise et rideaux). nous sommes mariés, alors !…, Ah ! « Tu es correct ! Qu’est-ce qu’il y a, « Bébé » ? non ! c’est trop fort ! C’est entendu ! Je craignais que nous fussions en retard ; je vois que non. On purge bébé, réalisé en 1961, est symptomatique de la fabrique de l'école des Buttes-Chaumont. ça se fera ! » toujours « mon seau ! « machina » ! pardon ! Je ne sais pas madame ; je n’y ai pas été. Tu ne peux pas te déranger ? Eh ! N’ayez pas peur ! Mais je m’en moque, qu’il se purge ! bien, va purger Bébé !

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