christophe colomb indigènes

Il est le fils d'un tisserand. Puis, dans un élan de fer­veur reli­gieuse, il pour­sui­vait : « C’est ain­si que le Dieu éter­nel, notre Sei­gneur, apporte la réus­site à ceux qui suivent Sa voie mal­gré les obs­tacles appa­rents. Il pensait toujours avoir trouvé des îles inexplorées près du Japon ou de la Chine et qu'une exploration plus approfondie était nécessaire. Christophe Colomb est revenu de son premier voyage en mars 1493, après avoir découvert le Nouveau Monde… bien qu'il ne le savait pas. On pen­sait en trou­ver à coup sûr en Asie, ain­si que des épices et de la soie, puisque Mar­co Polo et d’autres en avaient rap­por­té de leurs expé­di­tions loin­taines quelques siècles plus tôt. Cet or arrive arrive par caravane à … La manière dont les femmes indiennes étaient trai­tées ne pou­vait que sur­prendre les Espa­gnols. Les Indigènes de différents pays sud-américains ont manifesté le jour de la commémoration de l’arrivée de Christophe Colomb aux Amériques, en 1492. Cependant, la composante religieuse était en arrière-plan, il a été utilisé comme prétexte pour exterminer des millions d'indigènes qui avaient occupé ces terres pleines de richesse pendant des siècles. Colomb envoya expé­di­tion sur expé­di­tion à l’in­té­rieur de l’île. À His­pa­nio­la, l’é­pave de la San­ta Maria, échouée, four­nit à Colomb de quoi édi­fier un for­tin qui sera la toute pre­mière base mili­taire euro­péenne de l’hé­mi­sphère occi­den­tal. Pour­tant, à en croire les manuels d’his­toire four­nis aux élèves amé­ri­cains, tout com­mence par une épo­pée héroïque — nulle men­tion des bains de sang — et nous célé­brons aujourd’­hui encore le Colum­bus Day. […] En bref, les maris mou­raient dans les mines, les femmes mou­raient au tra­vail et les enfants mou­raient faute de lait mater­nel. Pour les premiers habitants, l’arr « Dans ce cas, ils se fai­saient aus­si accom­pa­gner d’In­diens por­tant de grandes feuilles de pal­mier pour les pro­té­ger du soleil et pour les éven­ter. […] Ils feraient d’ex­cel­lents domes­tiques. C’est Karl Marx qui a enrichi le charabia mort et infâme des politiciens, des journalistes et des gens sérieux (charabia qui, dans certains cercles, est superbement qualifié de « langage de l’idéologie moderne ») avec ce mot. Las Casas, qui avait retrans­crit le jour­nal de Colomb, com­men­ça vers l’âge de cin­quante ans une monu­men­tale His­toire géné­rale des Indes, dans laquelle il décrit les Indiens. Il navi­gua alors jus­qu’à l’ac­tuelle Cuba, puis jus­qu’à His­pa­nio­la (Haï­ti et Répu­blique domi­ni­caine). Lors­qu’il devint évident que l’île ne rece­lait pas d’or, les Indiens furent mis en escla­vage sur de gigan­tesques pro­prié­tés, plus connues par la suite sous le nom de enco­mien­das. Christophe Colomb s'y précipita et le déclara également propriété espagnole. Vouée à l’Église catho­lique, l’Es­pagne avait expul­sé Juifs et Maures de son ter­ri­toire et, comme les autres États du monde moderne, elle convoi­tait l’or, ce métal en passe de deve­nir le nou­vel éta­lon de la richesse, plus dési­rable encore que la terre elle-même puis­qu’il per­met­tait de tout ache­ter. Le pre­mier homme qui aper­ce­vrait une terre était sup­po­sé rece­voir une rente per­pé­tuelle de 10 000 mara­vé­dis. La source prin­ci­pale — et, sur bien des points, unique — de ren­sei­gne­ments sur ce qu’il se pas­sait dans les îles après l’ar­ri­vée de Chris­tophe Colomb est le témoi­gnage de Bar­to­lo­mé de Las Casas qui, jeune prêtre, par­ti­ci­pa à la conquête de Cuba. En outre, lorsque l’eau enva­hit les gale­ries, la tâche la plus haras­sante de toutes consiste à éco­per et à la reje­ter à l’ex­té­rieur ». Trois mil­lions d’in­di­vi­dus ont donc été vic­times de la guerre, de l’es­cla­vage et du tra­vail dans les mines, entre 1494 et 1508. Lors­qu’ils « étaient pres­sés, ils se dépla­çaient à dos d’In­dien » ou bien ils se fai­saient trans­por­ter dans des hamacs par des Indiens qui devaient cou­rir en se relayant. […] Pour­tant, notre acti­vi­té n’a consis­té qu’à les exas­pé­rer, les piller, les tuer, les muti­ler et les détruire. La rue Christophe Colomb de Cayenne est devenue la rue des Peuples Autochtones. Peu importe les choix que nous ferons, une chose est sûre. C’est un évènement historique qui pullule dans nos manuels d’histoire : le 12 octobre 1492, Christophe Colomb découvre l’Amérique. Depuis peu, la date est rebaptisée Journée des Peuples Indigènes. Découverte. Il s’a­gis­sait d’une île de l’ar­chi­pel des Baha­mas, dans la mer des Caraïbes. Par­ti­cu­liè­re­ment agiles, dit-il, ils pou­vaient éga­le­ment nager — les femmes en par­ti­cu­lier — sur de longues dis­tances. Le 12 octobre 1492, Christophe Colomb arrive dans la Caraïbe. Le lieu de sa naissance est peu sûr (Gênes en Italie ?). Cependant, des historiens ont accusé Columb d’avoir initié la traite transatlantique des esclaves et le génocide (la décimation) des indigènes de Saint-Domingue. By Rezo Nòdwès -29 novembre 2020 « S’IL N’Y PAS DE JUSTICE... By Rezo Nodwes -29 novembre 2020 Oui Foot !

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